sexta-feira, fevereiro 16, 2007

Old diary pages...

J'en ai peur, oui. J'ai peur de cet inconnu, qu'une fois atteint le reste encor. Cette nuit qui nous envahit à tous un jour, sans exception, choisissant injustement, par des critères connus d'elle seule. Elle vient et va, dans le silence, sans rien dire... sans rien expliquer. Insensible à notre souffrance, indiférente à nos questions. C'est un vent qui nous pousse au bord du précipice, c'est une porte noire dans le désespoir de chacun, c'est une esperance maligne... pour certains, c'est un passage, pour d'autres c'est la fin. La fin de quoi? le passage vers quoi? On ne le sait. Personne. On se torture en vain pour la comprendre, mais on y parviendra jamais tout à fait. Mais qu'importe? Un mystère dévoilé perd sa beauté...


elles me caressent le corps comme la douce brise, seule parmi elles je me sens libre, mes pensées me quittent pour un instant, et je les écoute de tout mon coeur, je les écoute parler dans leur langue paisible... Les oiseaux tout a coups apparaissent et pendant un moment le bruit des ailles brise l'enchantement, le silence et l'harmonie des vieilles voix. ils passent vite, mais cela suffit pour que les pensées reviennent, dévoilant tout mes secrets sentiments. Je cherche un autre lieu... je fuis ma mémoire, je fuis mon âme. Mais ce paradis irréel où la paix survit, où est il? Pourquoi est il si loin?