sexta-feira, fevereiro 16, 2007

give it a try.


fight for happiness.

so maybe love aint always good. but its the best thing in the all damn world. how strange is that?

fight for freedom.

dance dance dance. then dance again.

so sei que vou a barcelona.. o resto, o quê que isso interessa?

Happy Valentine


paz e amor.
find love. live in peace.

nevermind...

e mais do que nunca, preciso de me agarrar a algo. Sinto me a beira do precipicio que pode desabar. preciso de algo em que por todo o meu amor, tudo o que sinto. e porque nao se pode viver do passado, de memorias e em lágrimas. Olhar em frente. dar um passo, só há duas escolhas: ou cais ou voas. cair mais baixo é improvavel. por isso voa...

nao vos caleis vos que cantais... musica, musica por favor. refugio, musica, dança, sono... afastada, assim quero estar. mas nao me abandoneis. preciso de todos vós, voltai, nao me vireis as costas. serei o vosso refugio se fores o meu... sim, sou louca. silencio. musica, retomai, nao deixes o vazio voltar... serei a melhor, mas ficai junto a mim. nao ides ou chorarei. como um pequeno perdido. ficai.

Old diary pages...

J'en ai peur, oui. J'ai peur de cet inconnu, qu'une fois atteint le reste encor. Cette nuit qui nous envahit à tous un jour, sans exception, choisissant injustement, par des critères connus d'elle seule. Elle vient et va, dans le silence, sans rien dire... sans rien expliquer. Insensible à notre souffrance, indiférente à nos questions. C'est un vent qui nous pousse au bord du précipice, c'est une porte noire dans le désespoir de chacun, c'est une esperance maligne... pour certains, c'est un passage, pour d'autres c'est la fin. La fin de quoi? le passage vers quoi? On ne le sait. Personne. On se torture en vain pour la comprendre, mais on y parviendra jamais tout à fait. Mais qu'importe? Un mystère dévoilé perd sa beauté...


elles me caressent le corps comme la douce brise, seule parmi elles je me sens libre, mes pensées me quittent pour un instant, et je les écoute de tout mon coeur, je les écoute parler dans leur langue paisible... Les oiseaux tout a coups apparaissent et pendant un moment le bruit des ailles brise l'enchantement, le silence et l'harmonie des vieilles voix. ils passent vite, mais cela suffit pour que les pensées reviennent, dévoilant tout mes secrets sentiments. Je cherche un autre lieu... je fuis ma mémoire, je fuis mon âme. Mais ce paradis irréel où la paix survit, où est il? Pourquoi est il si loin?